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Mobilités urbaines, Démocratie sanitaire et aménagement de la ville, atelier « Éole »

Ateliers 2016

Document mis en ligne le 29 décembre 2016
La médiathèque de l'Ihédate propose une sélection de vidéos, interventions, textes, synthèses, choisie dans les archives de l’institut. Les documents de la médiathèque sont accessibles librement sur notre site Web, n'hésitez pas à référencer ces pages si leur contenu vous intéresse. Les archives de l'Institut contiennent bien plus de documents encore – notamment plus d'un millier de vidéos–, dont l'accès est réservé à nos auditeurs actuels et passés.

Retour sur le cycle 2015-2016

Jeudi 08 décembre
Colas – Amphithéâtre
7, place René Clair, Boulogne-Billancourt

Atelier Mobilités périurbaines : la route négociée ?

Partenaire : Association des sociétés françaises d’autoroutes
Problématique
Les transports collectifs en site propre ont longtemps représenté le moyen d’assurer un transport de masse, propre et démocratique. Mais la vague des investissements dans ces dispositifs atteint ses limites : tram et métros ne fonctionnent que dans des territoires où l’on peut massifier les flux et à l’usage, ils se révèlent peu souples et finalement pas toujours adaptés à la réalité des déplacements. Si certains investissements d’envergure sont prévus (grand Paris express, deuxième ligne de métro à Rennes), l’étendue des aires urbaines et la diversité des trajets et des motifs de déplacements, qui tendent à transgresser les échelons administratifs repose la question de la pertinence de la route comme infrastructure multimodale et adaptée à une mobilité très diffuse. L’exemple madrilène, où un réseau de car express fait office de RER, montre le potentiel des modes routiers comme mode de transport massif. Mais cette infrastructure sera d’autant plus efficace si elle sait s’adapter à la diversité des pratiques, des modes et des motifs de mobilité. L’innovation dans le champ de la mobilité routière sera sans doute technologique et organisationnelle ; elle sera surtout démocratique, à partir d’une compréhension des usages, des attentes et de la mise en œuvre de régulations collectives.
Question : Comment inclure les usagers dans des usages collectifs de l’infrastructure routière ?
Sylvie Delatte, Jean-Yves Soriano, Auditeurs

9h30 -9h45
Introduction générale
Gaëlle Berthaud, Wilfrid Pasquer, Quentin Vaillant, Auditeurs

9h45 -10h15
Présentation de scénarios
Claire Hallegouet, Sandrine Pivard, Auditrices

10h15 -10h30
Présentation d’un exercice de vote
François Bellanger

10h30 – 10h45
Transit City
François Bellanger, Olivier Bonin, Pascal Clochard, Florence Hanappe

11h – 12h
Table ronde animée par Gaëlle Berthaud et Jean-Yves Soriano
Vote sur le scénario le plus probable

12h – 12h15
Ghislaine Baillemont, Christophe Boutin, Laurence Guillerm

12h15 – 12h45
Le mot du partenaire
Discussion générale


Atelier Démocratie sanitaire et aménagement de la ville

Coordinateurs : Emmanuel Vigneron, professeur de géographie et notamment géographe de la santé à l’université de Montpellier, animateur du groupe Santé des anciens auditeurs de l’Ihedate et Benoît Péricard, directeur associé KPMG, auditeur 2000 de l’Ihedate (excusés)

Problématique
Le monde de la santé a connu une évolution considérable, sous l’impact de deux phénomènes. D’ une part, l’évolution du système de santé lui-même (et les controverses qui agitent le milieu médical) ont contribué à donner plus de place aux usagers et aux malades au sein du système de soin et de fonctionnement des institutions hospitalières. D’autre part, le vieillissement de la population et la montée des maladies chroniques donne plus de place au patient, dans la relation aux soignants et dans la responsabilisation face aux traitements. L’hôpital est de plus en plus hors les murs, inscrit dans des réseaux urbains.
Question : Ces évolutions rejaillissent-elles sur les conceptions de l’aménagement sanitaire ? La forme des hôpitaux et des cliniques évolue-t-elle ? Les réseaux ville-hôpital s’inscrivent-ils dans le fonctionnement urbain ? Les usagers, patients, habitants sont-ils consultés sur l’organisation des soins et leur impact sur l’aménagement urbain ?
Alexandre Sorrentino, Pascal Brenot, Auditeurs

14h30 – 14h45
Introduction et rappel de la commande initiale
Deniz Boy, Julie Taldir, Auditeurs

14h45 – 15h
Le patient ? Séquence 1
Julien Artu, Luigi Flora

15h – 16h
Le patient ? séquence 2
Magali Fitzzgibon, Hervé Véronèse, Auditeurs

16h 15– 16h30
Le numérique, l’E-santé – Séquence 1
Emmanuelle Pierga, Manon Molins,

16h 30– 17h30
Le numérique, l’E-santé – Séquence 2
Matthieu Pasquio, Auditeur

17h 30– 18h
Conclusion et discussion générale


Vendredi 09 décembre

Atelier Eole : peut-on concevoir collectivement un moyen de transport en commun ?

Coordinatrice  : Anne Barlet, ancienne directrice des affaires publiques de la SNCF, consultante
Partenaire : Xavier Gruz, Directeur de projet EOLE-NExTEO
Problématique
Le prolongement du RER E vers l’Ouest vise non seulement à assurer une nouvelle liaison avec la Défense, mais aussi jusqu’à Mantes la Jolie. En fait, Eole s’inscrit dans l’ensemble des chantiers qui visent à doter l’Île-de-France d’un véritable réseau de transport, là où n’existait qu’un ensemble de lignes radiales. Cet effet réseau change la donne du rapport entre les usagers et le moyen de transport : les connexions facilitées, le passage par le centre évité, ouvrent de très nombreuses opportunités nouvelles. Cependant, pour que cet effet prenne corps, il faut associer les différentes parties prenantes, au-delà de l’infrastructure, au « design » et au fonctionnement des services de mobilité : non seulement la question des fréquences, mais aussi celle des services embarqués, du fonctionnement des gares, des opérations d’aménagement autour d’elles, etc.
Question : Comment bien identifier les parties prenantes d’un tel chantier, dans la perspective du réseau ? Comment proposer des services polyvalents, incluant une diversité d’usages, au-delà des déplacements pendulaires quotidiens ? Quels dispositifs pour faire d’Eole un service de mobilité coproduit avec ses parties-prenantes ?
François Philizot, Alexandre Bernusset, Sophie Dumas, Jean Faussurier

9h30 – 10h30
Table ronde « Articulation des différents projets de transports et organisation territoriale »

Séquence 1 : vidéo de présentation d’Eole et présentation du contexte des transports par les auditeurs
Questionnements proposés aux invités de la table ronde :
– une conception plus « collective » du projet Eole avant la déclaration d’utilité publique (DUP) aurait-elle été possible ? Les projets Eole et LNPN ne pouvaient-ils pas être pensés ensemble ? La gare Saint-Lazare est-elle le nœud des problèmes d’arrivée sur Paris pour les circulations transiliennes et normandes ? Quel est le dispositif de réflexion et de conception, pour les résoudre et pourquoi cela n’a pas été « débattu » en même temps qu’Eole et LNPN ?

– Séquence 2 : présentation des enjeux du territoire de Seine Aval et le contexte institutionnel de GPSEO par les auditeurs
Questionnements proposés aux invités de la table ronde :
Comment le projet Eole a-t-il intégré les enjeux de mobilité locale dès sa conception et ses impacts ? Comment appréhender les réponses adaptées de mobilité pour des populations et des dynamiques très contrastées ? (pôles défavorisés/communes périphérie CSP+) ? Qui est garant de la qualité de l’intermodalité ? Quels sont les freins, notamment institutionnels à la fabrique collective du système urbain de déplacement ? Quels dispositifs envisager pour une approche intégrée ? Comment seront desservies les gares non desservies par Eole si la ligne J est supprimée ? Que reste-t-il à définir pour Eole (matériel roulant, fréquence, horaires…) ? Quel est le processus d’échanges institutionnel et d’association de parties prenantes sur ces aspects ?
Christophe Barge, Alexandre Bernusset, Sophie Dumas,

10h30 – 11h15
Table ronde 2 « Focus sur Les Mureaux, présentation et propositions par les auditeurs »

Séquence 3
Questionnements proposés aux invités de la table ronde :
A partir du cas des Mureaux et des propositions, un processus intégré pour garantir la performance du système de mobilité et le développement urbain du quartier est-il possible ? Comment garantir l’effet d’entraînement attendu pour les territoires, y compris par exemple les quartiers sud des Mureaux ? Quelles articulations entre les différents maîtres d’ouvrage et responsables institutionnels (Commune-intercommunalités-Département-Région-Etat) ?

Séquence 4 : les services en gare, la gare connectée
Selon quelles modalités la co-production avec les usagers et les habitants est-elle envisagée ? A partir des références de ce qui se fait ailleurs (innovations, gare connectée…), peut-on projeter ce type de solutions sur le territoire ? A quelles conditions ? « Smart Mureaux » 2024 ?
Christophe Barge, Alexandre Bernusset, Sophie, Dumas, Jean Faussurier, François Philizot

11h30 – 12h45
Table ronde « L’impact du projet sur l’aménagement équilibré en Ile-de-France et sur les franges franciliennes/normandes »
Questionnements proposés aux invités de la table ronde :
Le projet Eole qui se voulait un projet de liaison de banlieue et de rééquilibrage est-ouest ne renforce-t-il pas, avec ses 3 gares nouvelles (Porte Maillot, La Défense, Nanterre La Folie), le coeur de la métropole pour l’immobilier d’entreprise (bureaux notamment). Quels sont les développements possibles pour fédérer la Vallée de la Seine ?
Quelle cohérence de transport et des mobilités à l’échelle de Vallée de la Seine ?
Anne Barlet, Armelle Lagrange, Xavier Gruz

12h45 – 13h15
Le mot du partenaire, discussion générale


L’association des auditeurs de l’Ihedate –Blandine Alglave, présidente (promotion 2013)
14h30 – 15h30


Travail en groupes

Des questions sur le fond :
– Quels sont pour vous les trois moments les plus intenses du cycle et/ ou les plus instructifs ?
– Pourquoi ?
– Quels sont les trois enseignements que vous retirez du cycle quant à l’aménagement du territoire et la démocratie

Des questions sur la forme :
– Qu’est-ce qui ne peut plus durer à l’Ihedate ?
– Qu’est-ce qui doit impérativement évoluer ?
– Comment intensifier la dimension européenne ?
– Faut-il alléger le programme annuel ?
– Faut-il diminuer le nombre d’auditeurs par promotion ?

Discussion générale
15h30 – 16h30


Les intervenants

François Bellanger est directeur de transit-City, programme de réflexions prospectives sur la ville et les modes de vie
Pour en savoir plus : http://www.transit-city.com
ou http://transit-city.blogspot.fr

Olivier Bonin est ingénieur des Ponts, des Eaux et des Forêts, docteur en mathématiques et géographe. Il est actuellement directeur adjoint du Laboratoire Ville Mobilité Transport (LVMT UMR T 9403 associant l’IFSTTAR, l’école des Ponts ParisTech et l’université Paris-Est Marne-la-Vallée). Ses travaux portent sur la modélisation urbaine, notamment la morphogenèse, ainsi que la conception et l’évaluation de scénarios de développement urbain durable. Il conduit également des recherches sur la mobilité et sur la cartographie. Impliqué dans Efficacity, ITE pour la transition énergétique de la ville, il y codirige le programme de recherche sur les modèles d’affaire innovants de l’efficacité énergétique.

Pascal Clochard est Senior Innovation Projects Manager avec une expérience en termes de gestion avancée de projets de 15 ans dans l’automobile comme chef de projet (Continental, Magneti-Marelli) et de 10 ans dans l’avionique comme ingénieur système et chef de projet (Thales Optronique).

Ingénieur, urbaniste et architecte de formation, Florence Hanappe est chef de projet en urbanisme, spécialisée sur les questions de mobilité et d’espace public dans la métropole du Grand Paris. Depuis 2002, elle mène au sein de l’Apur, atelier parisien d’urbanisme, des missions d’élaboration et de suivi de projets d’aménagement urbain (Paris Nord-Est, candidatures aux JO), des projets d’espace public (tramway, portes de Paris, restructuration d’échangeur) et sur des études prospectives (trame viaire du cœur d’agglomération, insertion urbaine des voies rapides, espace public parisien).
Dans le cadre des réflexions sur le Grand Paris, Florence Hanappe travaille sur la construction métropolitaine au travers notamment des questions de transports collectifs et d’espaces publics (métro et places du Grand Paris, stratégie de développement des territoires, études de la trame viaire du cœur d’agglomération).

Julien Artu, diplômé en management hôtelier, subit en septembre 2011 un grave accident de voiture. Suite à 2 mois d’alitement puis 3 mois d’une lourde rééducation, il a jugé qu’il était nécessaire de faire quelque chose pour humaniser l’hôpital et rendre le partage possible entre les personnes hospitalisées.
Son réseau, My Hospi Friends permet à chacun(e) des malades d’échanger avec les autres en partageant sur leurs passions.
Son expérience dans le digital avec My Hospi Friends le place aujourd’hui comme un expert de la communication et du développement de médias sociaux. Julien Artu a été récompensé par le député-maire de Caen, sa région d’origine, « personnalité de l’année » dans la catégorie Innovation.
Julien est également président de la commission « startup et international » de la Fédération Française du Senior.

Vivant avec plusieurs maladies chroniques, c’est de cette expérience que Luigi Flora s’est investi dans des recherches académiques. Il est ainsi devenu successivement : titulaire d’une maitrise en réseau numérique et nouvelles technologies de l’information - 2004, d’une maitrise en droit de la santé - 2007, d’un doctorat en sciences de l’éducation - 2012 et a réalisé un post doctorat en santé publique à l’institut de recherche en santé publique de l’université de Montréal. Chercheur multi référentiel, il est un des spécialistes des savoirs expérientiels issus de la vie avec la maladie et des interactions qu’ils génèrent avec les systèmes de santé. Il est à ce titre co-auteur avec Emmanuelle Jouet et Olivier Las Vergnas d’une note de synthèse sur le sujet et auteur d’un référentiel de compétences du patient, pourquoi faire ?…L’exemple du modèle de Montréal (presses académiques francophones). Luigi Flora est un des co-concepteurs du modèle de Montréal qui redéfinit la relation entre patients et professionnels de la santé au travers d’un partenariat de soin opérationnel pour les propres soins du patient, mais également dans le cadre des services de soin, dans l’organisation des services et pour le système de santé selon une approche systémique allant de l’enseignement, les milieux de soins jusqu’à la recherche dans le domaine de la santé. Il a auparavant participé au lancement de la première université des patients dans une Faculté de médecine en France (2009) et à l’initiation de la Cité de la santé à la cité des sciences et de l’industrie de Paris (2000). Il prépare aujourd’hui avec un médecin, Jean-Michel Benattar, l’UniverCité du Soin, une greffe du modèle de Montréal avec l’action de la Maison de la Médecine et de la Culture (MMC), elle-même initiée en 2015.

Co-pilote du projet MesInfos, Manon Molins a rejoint la Fing en 2014. Elle a étudié l’économie et les sciences politiques à la Sorbonne (Paris 1) ainsi que l’ingénierie de l’information au Cnam. Elle contribue également au programme annuel de prospective Questions Numériques - cycles Transitions et Transitions squared, particulièrement sur les enjeux liés aux territoires et à l’action publique.

Emmanuelle Pierga est directrice de la communication d’Orange Healthcare, la filiale santé d’Orange Business Services. Orange Healthcare. Elle a pour mission de développer les activités e-santé pour le Groupe Orange, en s’appuyant sur les nouvelles technologies de l’information et de la communication en France et à l’international.
Emmanuelle pilote l’ensemble des actions de communication sur la santé au nom du groupe Orange, tels les plans de communication, les relations avec la presse et les analystes industriels, les actions de communications interne, un programme d’interventions et prises de parole en France et à l’international ainsi que la stratégie de communication digitale.
Avant de rejoindre Orange Healthcare, Emmanuelle a dirigé des activités de communication et de business intelligence pour le groupe Orange.
Emmanuelle est diplômée de La Sorbonne et le Conservatoire National des Arts et Métiers où elle s’est spécialisée en traduction, business intelligence et communication.

Christophe Barge, 45 ans, est un professionnel de la communication. Il s’est spécialisé dans les nouvelles technologies. Diplômé de Sciences Po, il se concentre aujourd’hui sur le conseil aux collectivités et aux entreprises dans l’intégration de solutions numériques de gestion et de communication adaptées à leurs besoins, ainsi que dans le développement de l’open innovation. Il anime de nombreuses conférences sur ces sujets.
Il est l’auteur de La Ville de demain (Cherche-Midi, mars 2014), véritable guide à destination des collectivités. Il publiera en 2016 La Ville intelligente pour les Nuls.

Jean Faussurier est ingénieur de l’École nationale des travaux publics de l’État, titulaire d’un MBA HEC et ancien auditeur au centre des hautes études sur l’Afrique et l’Asie modernes.
Entre 1985 et 1992, il exerce différents postes de direction de projet dans le secteur de l’immobilier et de l’aménagement avant de rejoindre la direction des affaires économiques & internationales du ministère des transports (1993-1997) comme responsable de la cellule Asie. Entre 1997 et 2000, Jean Faussurier est rapporteur à la direction générale de la concurrence de la Commission européenne pour des affaires concernant les secteurs ferroviaire et aéroportuaire.
Entré à Réseau Ferré de France, il y est successivement directeur délégué aux affaires européennes et internationales (2001-2009), directeur du service d’animation stratégique (2008-2009), directeur du projet Eole et du projet NExTEO (2010-2012), directeur régional Ile-de-France (2013-2015). Jean Faussurier est actuellement directeur de l’accès au réseau Ile de France au sein de SNCF Réseau.

François Philizzot est Préfet, délégué interministériel au développement de la vallée de la Seine depuis avril 2013 et conseiller du Gouvernement depuis juillet 2015. Diplômé de Sciences-Po Paris, il est affecté au ministère de l’Intérieur à sa sortie de l’ENA en 1982. Détaché comme sous-préfet, chef de cabinet du préfet de la région Ile-de-France, préfet de Paris en 1982-1983, il est ensuite adjoint au chef du bureau des élections et des études politiques à la direction générale de l’administration au ministère de l’Intérieur. En 1986, il est nommé sous-préfet de St-Dié (Vosges) puis de St-Pierre-de-la-Réunion de 1989 à 1992. Affecté à la DATAR de 1992 à 1995 comme conseiller technique, il est ensuite nommé secrétaire général de la préfecture du Finistère de 1995 à 1998, puis de la préfecture du Nord de 1998 à 2000. Il retrouve la DATAR de 2000 à 2005, comme directeur, adjoint au délégué, avant d’être promu préfet de l’Indre en 2005, préfet du Tarn en 2007, préfet du Morbihan en juin 2009 et préfet de Saône-et-Loire du 1er février 2011 au 1er avril 2013.