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Benoît Péricard est associé, directeur des activités Secteur public et Santé chez KPMG. Il a successivement occupé des postes au bureau international du travail puis comme directeur régional des affaires sanitaires et sociales de Bourgogne, directeur général de l’ARH des Pays-de-la-Loire puis directeur général du centre hospitalier de Nancy. Il a par ailleurs participé à des missions de réflexion et de propositions (DATAR, Commissariat général du plan). Il assure des enseignements à l’université de Nantes et à l’ENA. Il a été auditeur de l’Ihedate en 2000.

  • Conférence(s) 🔒

  • Cycle 2018 16 mars 2018 Hôtel de ville de Saint-Denis Réformes passées, présentes et à venir du système de santé Pour retracer les grandes réformes structurantes du système de santé, auxquelles il est nécessaire d’adjoindre celles du système de protection sociale, il faut partir de 1927, année de l’adoption de la charte de la médecine libérale par la Confédération des syndicats médicaux français, puis bien sûr, 1945 et les ordonnances créant la sécurité sociale. 1958 est l’année de baptême de l’hôpital moderne hospitalo-universitaire, puis 1970 marque le début d’une forme de territorialisation avec la création des premières cartes sanitaires (anticipée en psychiatrie dès 1960), 1975 les lois médico-sociales, 1983 le budget global, 1990 les premiers schémas puis les ordonnances d’avril 1996 créent les agences régionales d’hospitalisation, l’accréditation et la « parlementarisation  » de l’assurance maladie. En 2004 est instituée la tarification à l’activité et en 2009 sont créées les agences régionales de santé. Les réformes se succèdent jusqu’à la loi de modernisation de 2016. Aboutissement ? Pas tout à fait. D’une part chaque ministre souhaite « sa  » loi, même si Madame Buzyn s’est démarquée de cette mauvaise manie. D’autre part, les silos institutionnels entre l’Etat et l’Assurance maladie, l’hôpital et la ville, se maintiennent et il faut continûment s’y attaquer. Enfin, il y a un impérieuse nécessité à faire évoluer les tarifications. Moins de lois, plus de contrats et de gestion territoriale ? Sans doute la voie de l’avenir ! Accès restreint 🔒