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Vélo & Territoires

Camille Thomé, diplômée de tourisme, progressivement artisane du développement du tourisme à vélo en France. Salariée fidèle de l’association de collectivités Vélo & Territoires développée depuis plus de vingt ans. Directrice depuis plus de 10. Membre de l’EuroVelo Council de 2011 à 2023, du Conseil d’Administration de l’European Cyclists Federation depuis 5 ans. Témoin de l’évolution des politiques cyclables en France et de leur évolution. Travaille au quotidien à la coordination centrale du Schéma national des véloroutes, au suivi et à la démonstration de l’impact des politiques cyclables, à la promotion d’un cap 2030 pour l’action et au développement du réseau cyclable national auprès des élus qui s’y engagent et des techniciens qui y travaillent.

  • Conférence(s) 🔒

  • Territoires et mobilités 2024 Session 3 28 juin 2024 Domaine de pertinence du vélo Le vélo s’est fait une place dans les centres-villes. D’après les chiffres du ministère (Bilan annuel des transports 2022), on note une augmentation de 31% du nombre de passages enregistrés par rapport à 2019 (8% par rapport à 2021). Si sa part modale reste modérée, on enregistre des hausses de fréquentation non négligeables. Mais ces évolutions se concentrent essentiellement dans les centres des grandes villes (Grenoble, Bordeaux, Strasbourg, Rennes, et dans une moins mesure, Lyon). Le vélo peut-il se développer dans les grandes aires urbaines ? Jusqu’à combien de kilomètres est-il pertinent ? Pour quels types de déplacements ? Et à quelles conditions est-ce réaliste ? Accès restreint 🔒
  • 9 avril 2020 Les attentes des territoires et les diagnostics sur les besoins Comment donner ou redonner plus de mobilité aux habitants en milieu rural... ?
    Dans les zones à faible densité, répondre aux besoins de mobilité des diverses populations et améliorer leurs conditions de déplacement en tenant compte du coût de l’énergie, de l’impact environnemental et des moyens mobilisables par les collectivités aux budgets contraints apparaît de plus en plus comme un enjeu essentiel. Gérer la mobilité en zones peu denses présente cependant de nombreuses complexités : les modes sont moins matures, les coûts à la personne transportée sont élevés du fait d’une densité plus faible et des distances plus grandes et les collectivités locales possèdent moins de moyens d’ingénierie que dans des territoires plus denses.
    Christophe Legroux présentera comment on peut envisager de faire des habitants des alliés, tout en engageant le territoire sur la neutralité carbone liée à la mobilité.
    Jean-Baptiste Ray tentera de clarifier les principales caractéristiques de chaque mode en zone peu dense et son domaine de pertinence en fonction des objectifs poursuivis, en ouvrant sur une proposition de mutualisation à la bonne échelle des moyens d’ingénierie, contractuels et d’exploitation.
    Jean Colard analysera l’accessibilité des zones « périphériques » et peu denses (re)mise en exergue par le mouvement des « gilets jaunes » à travers un cadrage systémique du sujet et une analyse territorialisée de la mobilité des EPCI mettant en lumière l’enjeu des politiques d’aménagement du territoire.
    Camille Thomé montrera que développer la mobilité cyclable dans les territoires peu denses présente autant de potentiel qu’en territoires urbains resserrés, mais que là comme ailleurs, le report modal ne sera jamais significatif sans itinéraires cyclables adaptés. Elle proposera une lecture des maillages structurants de référence et les éléments de politiques cyclables à injecter dans ce type de territoires.
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