Aller au contenu de la page
Exemples de recherches:
  • enfant étranger : les textes contenant «enfant» et/ou «étranger»
  • +enfant étranger : les textes contenant obligatoirement «enfant», éventuellement «étranger»
  • "enfant étranger" : les textes contenant exactement la séquence «enfant étranger»
S’identifier 🔒

Solagro

Philippe Pointereau est agronome. Il est directeur-adjoint de Solagro et coordonne plusieurs programmes de recherche et de développement tant au niveau national qu’européen en lien avec l’Agence Européenne de l’Environnement et le Centre Commun de Rechreche de la Commission Européenne. Il s’est spécialisé dans l’évaluation agro-environnementale et l’étude des relations entre pratiques agricoles et environnement. Il a participé à l’élaboration du scénario Afterres2050 et travaille plus particulièrement aujourd’hui sur l’évaluation des systèmes alimentaires (projet Bionutrinet : la mesure de l’impact environnemental d’un régime biologique versus conventionnel).
Il a publié plusieurs articles et ouvrage sur l’impact de l’alimentation, le bocage, l’artificialisation des terres agricoles et Les systèmes agricoles à haute valeur naturelle.
Il est administrateur de l’Association Française d’Agronomie et de la Fondation Terre de Liens et membre de la compagnie Paysages de l’après-pétrole.

  • Conférence(s) 🔒

  • Cycle annuel 2020 12 novembre 2020 La diffusion de nouveaux modes de production en agriculture Accès restreint 🔒
  • Cycle 2019 17 octobre 2019 L’agriculture et l’alimentation : quelle transition et quel financement ? Les travaux scientifiques récents (BioNutriNet, Afterres2050) montrent une convergence certaine entre d’une part, les objectifs de l’Accord de Paris et leur déclinaison nationale (LTECV, SNBC) en vue de réduire par 4 les émissions territoriales de la France de 1990 d’ici 2050 (et d’atteindre la neutralité carbone) et, d’autre part, le nouveau Plan National Nutrition Santé. L’alimentation représente environ 30% de nos émissions de GES (l’agriculture 20%) et les émissions de GES de notre alimentation actuelle (du champ à l’assiette) sont supérieures de 37% à notre « quota de CO2  » de 2050. La transition doit donc s’accélérer. Elle passe par la diminution dans notre alimentation de la part des protéines animales (viandes et produits laitiers) et par l’augmentation de la part des produits biologiques considérés comme moins contaminés par les pesticides. On dispose de suffisamment de moyens (PAC, PNNS, Coûts de l’Assurance Maladie ou du traitement de l’eau potable) pour réorienter notre agriculture pour que celle-ci réponde aux besoins alimentaires futurs des français. Accès restreint 🔒